L’expérience client Taos
Je souhaite partager avec vous l’expérience que le professionnel que je suis, vit avec la plupart de mes clients, à partir de la première rencontre, jusqu’à la signature effective de leur investissement.
Il s’agit de détecter les émotions et sentiments de mes clients pour y apporter la réponse la plus empathique et authentique possible.
Au-delà donc de la compétence technique que requiert mon métier, la dimension psychologique est également très importante et c’est cette expérience que je vous livre.
N’hésitez pas à réagir à cette traduction émotionnelle et à me faire votre retour sur votre expérience client avec moi.
Le profil du client Taos est une personne active, qui gagne bien sa vie, elle s’appelle Sara.
Elle n’a pas l’impression d’être riche et ne se sent pas forcément à l’abri d’un pépin financier
Ce que pense et ressent Sara ?
Qu’elle n’a pas l’impression d’être riche et ne se sent pas forcément à l’abri d’un pépin financier.
Elle éprouve parfois un sentiment de frustration, voire d’angoisse, car elle est tiraillée entre le désir de protéger son avenir, de maintenir son train de vie, et d’être vigilante sur ses charges et ses impôts.
Elle entend beaucoup de choses autour d’elle
Qu’est-ce qu’entend Sara ?
Elle entend beaucoup de choses autour d’elle. Sara entend qu’il faut investir dans l’immobilier en payant moins d’impôt.
D’autant que culturellement en France, on dit que la 1ère chose à faire est d’acheter sa résidence principale.
Et que l’immobilier est le meilleur moyen de se protéger pour son avenir.
Et qu’il faut épargner pour son avenir, sa retraite.
Écouter Sara, accueillir tout ce qu’elle pense et essayer de la rassurer
Qui Sara va-t-elle voir pour se renseigner ?
Elle va voir son banquier ou son expert-comptable (quand elle a une entreprise) ; elle en parle à ses amis qui, soit dit au passage, ont tous une solution géniale.
Et à force de recevoir l’avis de tout le monde, Sara finit par être noyée par ce flux d’informations et ne sait plus à qui faire confiance : le banquier lui propose ce qu’il a à lui vendre et les amis ne sont pas forcément en mesure de faire une comparaison objective entre leur situation et la sienne.
Et finalement, par le biais de relation, quelqu’un finit par lui parler de Taos et la rencontre se fait entre Sara et moi. Dès lors, je m’attache à l’écouter, à accueillir tout ce qu’elle pense et essaie de la rassurer, en fonction de son niveau de questionnement.
La solution est engageante et impactante, ce qui lui fait un peu peur : Normal !
Quelles sont les premières difficultés de Sara ?
Une fois que nous commençons à entrer dans la co-construction d’une proposition, Sara réalise que la solution est forcément engageante sur le long terme ; engageante et impactante, ce qui lui fait un peu peur. Normal.
En tant que professionnel, une de mes priorités est d’arriver à lui faire dissocier l’immobilier affectif de l’immobilier rationnel. Le bien qu’elle va acheter, elle n’y vivra pas, tout du moins dans l’immédiat.
Ensuite, je me mets en relation avec mes partenaires pour lui trouver le financement bancaire le plus approprié. Il peut être possible que celui-ci passe par le banquier de Sara (si celui-ci estime que c’est une bonne cliente et qu’il n’a pas envie de la perdre) ; et dans ce cas, c’est le banquier que je dois rassurer pour qu’il ne me voit pas comme un concurrent, ce qui serait une erreur.
Je vais accompagner Sara jusqu’à la signature effective, où elle éprouve du soulagement et le sentiment d’avoir franchi une grosse étape.
Le paradoxe du parcours client c’est que le problème est la solution
Qu’est-ce que je retiens de mes différentes expériences à chaque fois ?
Je retiens essentiellement les besoins de Sara :
- être rassurée et accompagnée tout au long de la démarche,
- avoir un professionnel qui lui explique l’intérêt de l’investissement (tous paramètres confondus),
- que Taos gère la relation avec l’ensemble des intervenants du projet, avec une vision globale, pour arriver à la solution la mieux équilibrée.
Le paradoxe du parcours client est que le problème est la solution, car l’engagement fait peur et on ne sait pas de quoi est fait l’avenir.
Et pourtant cet engagement a pour but de protéger l’avenir du client.